Sébastien

agent Econocom, Lyon

Vous êtes agent Econocom depuis 18 ans. Quel est votre parcours ?

J’avais 28 ans quand j’ai créé la première agence Econocom de France.  A l’époque, j’étais commercial salarié du groupe, j’avais du succès dans le business… et j’étais mûr pour voler de mes propres ailes ! En tous cas, je n’ai pas hésité quand le président Jean-Louis Bouchard a lancé le modèle « agents ». Avec un collègue d’Econocom, on a été les premiers à signer. C’était en 2003, on sautait dans l’inconnu et le succès a été immédiat. Très vite, on a recruté un commercial – un ancien d’Econocom. Nos clients ont suivi, ils nous suivent encore aujourd’hui. En 2021, l’agence Passepor Lyon compte neuf salariés et réalise pour Econocom un chiffre d’affaires de 75 millions d’euros. Avec l’explosion du télétravail, les perspectives sont bonnes. Cerise sur le gâteau : nous sommes même propriétaires de nos locaux !

Qu’est-ce-qui vous motive au quotidien ?


Je travaille, je transpire, je fais des sacrifices… mais c’est mon choix, c’est ma boîte et j’aime ça ! Faire du business m’amuse toujours autant. Je suis aussi excité qu’au début quand une nouvelle commande arrive. Par ailleurs, je me sens libre dans ma façon de gérer les contrats, autonome dans mes recrutements aussi. Avec mon associé – le même qu’au début -, nous recrutons des collaborateurs qui partagent nos valeurs. Résultat : l’équipe est fidèle, l’alchimie fonctionne. Comme si une énergie collective se déployait chaque jour. Ca aussi, ça motive.

Seriez-vous prêt à conseiller à l’un de vos proches de devenir agent Econocom ?


Pour peu que l’on ait l’esprit d’entreprise et l’expérience métier, il ne faut pas hésiter à y aller. Après avoir testé le potentiel business bien sûr. Si les conditions sont réunies, se lancer avec Econocom est un vrai plus. Plateforme achat, extranet, outils d’aide à la vente, support logistique, back office réactif : tout est là pour simplifier la tâche. Autre atout, le catalogue produits, très riche, de la téléphonie à l’IA, en passant par les infrastructures réseaux, la visio… La marque est solide, puissante, bien implantée dans les grands groupes, c’est aussi un plus pour rassurer les prospects et signer les contrats. Enfin, et c’est essentiel, en tant qu’agent, on est soutenu et reconnu par la direction d’Econocom, comme si on faisait partie de la famille. On appartient au collectif, un peu comme si on était salarié. Simplement, on a la liberté et le côté « no limit » de l’entreprenariat en plus.


Si vous deviez raconter une anecdote pour illustrer l’entreprenariat comme agent Econocom ?


Je raconterais le recrutement de ma super commerciale – nom de code « top gun », elle ne lâche rien ! Elle travaillait à la concurrence, était sollicitée par de nombreux constructeurs. Je ne pouvais pas m’aligner sur le salaire. Je lui ai proposé de reprendre une partie de mon portefeuille clients, je lui ai promis de l’autonomie. « Top Gun » a accepté. Des années plus tard, elle est toujours là.  

 

« On fait partie d’un collectif un peu comme si on était salarié. Simplement, on a la liberté et le côté « no limit » de l’entreprenariat en plus. »

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