Qui ose gagne
C’est l’audace de changer de paradigme qui a permis le développement d’Econocom : le recyclage est désirable, soutenable, rentable, pour le plus grand nombre et sur la durée.
La frugalité et la sobriété sont des repères solides depuis que nous avons commencé à remettre sur le marché des équipements reconditionnés et que nous développons des services utiles. Elles sont devenues des vertus citoyennes.
Nous apportons notre part à l’économie circulaire, tout en étant attentifs et solidaires : la dignité passe par une reconnaissance sociale, c’est pourquoi nous travaillons avec des organisations aidant les personnes éloignées de l’emploi à se réinsérer.
Être en avance de phase sur les tendances, faire autrement et pour moins cher, aller là où les autres ne vont pas, c’est l'audace qui permet l'innovation dans la définition des offres, la recherche de solutions que personne n'a encore osé déployer, l'attention permanente aux clients, aux nouveaux besoins et usages sont les fondamentaux de notre action.
Une preuve
SBTi : une contrainte désirable
L’audace c’est d’avoir le courage de travailler en suivant les recommandations du GIEC, en se soumettant aux programmes scientifiques internationaux comme le SBTi, pour accélérer la réduction de notre empreinte : Agir vite et bien, réduire drastiquement nos impacts, sérieusement.
Qu’est-ce que SBTi ?
La Science Based Targets Initiative est un partenariat entre le WWF, le Pacte Mondial des Nations-Unies, le World Resources Institute, le Carbon Disclosure Project.
C’est un process qui permet aux entreprises de s’aligner sur des critères scientifiques rigoureux pour mesurer et pour réduire leur impact. L’objectif de zéro déforestation et de préservation absolue des ressources hydriques fait partie des mesures prises en compte pour refléter la trajectoire des entreprises sur l’objectif 1.5° qu’elles visent.
C’est l’exigence qui fait progresser.
Objectif zéro émissions.
Le Standard Net-Zero offre un plan de travail très clair aux entreprises pour la réduction de leurs émissions, selon des critères scientifiques, ce qui n’est pas négociable dans cette décade décisive pour l’action climatique, parce que le temps presse.
Johan Rockström, Directeur de l’Institut pour la Recherche sur le climat de l’Université Postdam.
L’établissement d’un objectif SBTi nécessite 5 étapes
SBTi une histoire de méthodologie scientifique ?
Oui et c’est très bien ainsi. La rationalité, la logique, la mesure prévalent pour toute démarche cohérente. Dans le cas du process SBTi, il s’agit de principes cardinaux. Le corpus de travail nécessaire à la satisfaction des critères SBTi est considérable. Il s’agit d’une activité très structurée qui nécessite une préparation, une compilation de données et un suivi méthodique par une équipe dédiée, pendant plusieurs mois.
Le renforcement de l'engagement d'Econocom
Fin 2023, le groupe Econocom a signé la lettre d’engagement SBTi. En 2024, nous avons validé nos ambitions scientifiques de réduction des émissions à court terme pour nous inscrire pleinement dans l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris de limiter le réchauffement climatique en dessous des 1.5°C par rapport à l’ère préindustrielle.
Il s’agit d’un point d’étape capitale pour le groupe dans la réduction de l’impact de ses activités. Cette nouvelle approche augmente notamment notre crédibilité au sein de notre écosystème, et en particulier de nos clients, qui souhaitent travailler avec des entreprises engagées pour l’environnement.
Le SBTi a validé les objectifs de réductions des émissions Scope 1 et 2 du Groupe Econocom pour s’inscrire dans la trajectoire des moins 1.5°C.
Ainsi, les trois engagements officiels du Groupe Econocom sont les suivants :
- Econocom s’engage à réduire les émissions de gaz à effet de serre scope 1 et 2 de 61.4% d’ici 2028 par rapport à l’année de référence 2018.
- Econocom s’engage à augmenter l’approvisionnement annuel en électricité renouvelable de 5% en 2018 à 92% d’ici 2028.
- Econocom s’engage également à ce que 100% de ses fournisseurs, en ce qui concerne les émissions liées aux achats de biens et de services, aient des objectifs SBTi d’ici à 2028.
Le SBTi est un projet initié par des organisations globales aux méthodes identifiées et reconnues.
Le World Wildlife Fund a été créée en 1962 en Suisse, pour protéger l’écosystème, c’est une des organisations fondatrices du Science Based Targets Initiative, dès 2015, avec pour objectif d’encourager les entreprises et les institutions financières à utiliser les sciences dans l’établissement de leurs objectifs de réduction de leur empreinte environnementale.
Carbon Disclosure Project est une organisation à but non lucratif, basée à Berlin depuis 2012 qui compile la plus importante base de données d’impact carbone, fournie par des milliers d’entreprises, de collectivités et d’organisations. CDP est la référence dans le domaine du reporting environnemental, avec des valeurs qui nous semblent justes : Choisir la transparence par défaut, la responsabilité au cœur des préoccupations, apprendre et s’améliorer, réussir ensemble.
Il a été créé en 1982 à Washington, D.C. , comme une organisation non gouvernementale destinée à des recherches scientifiques sur les enjeux environnementaux du développement. WRI promeut un changement des comportements et des usages pour ralentir la dégradation de l’environnement.
Pacte Mondial des Nations-Unies, (United Nations Global Compact)
Cette initiative contraignante pour les entreprises vise à limiter le réchauffement climatique en proposant des solutions aux défis mondiaux. Le rôle majeur des initiatives privées dans cette révolution des usages est reconnu. Pour tout comprendre très vite de cette mission, voici l’explication de Liz Kingo, la responsable du pacte.